"Ensemble progressons"
Cette première sortie 2019 a conduit notre groupe de 24 participants à Laon puis à Guise. Après un départ matinal de la Porte Maillot, et un trajet sans problème, nous sommes arrivés à Laon –classée ville d’art et d’histoire-où nous retrouvons notre guide-conférencière pour nous faire parcourir durant la matinée la ville haute de Laon, ville fortifiée sur un plateau qui domine la plaine d’une centaine de mètres. La visite commence par l’hôtel Dieu, à double étage, le plus vieux de France (1167) puis nous traversons le semi-cloître gothique adossé à la cathédrale, datant du 14èmesiècle.Nous arrivons à la chapelle des Templiers datant du XIIème siècle, de style roman et gothique (en rénovation). La Commanderie templière-moines soldats-accompagnait les pèlerins sur la tombe du Christ et assurait la protection des lieux saints. Leur richesse dépassant celle du roi, Philippe Le Bel va ordonner la traque et la destruction des Templiers. Leurs biens seront donnés à l’ordre de la Croix Saint Jean de Jérusalem en 1509, qui deviendra l’ordre de Malte.
Départ à 7h20 de la porte Maillot pour notre groupe de 29 personnes, à notre nouveau point de rendez-vous, boulevard Gouvion Saint Cyr, pour une journée qui promettait d’être belle et chaude.
Arrivés sans encombre à Rouen, nous avons rejoint la Lutèce qui nous attendait à quai pour une visite commentée d’1h30. Notre groupe –seul à bord- a pu poser maintes questions.
Le port de Rouen –HAROPA- 1er port européen pour les céréales et 1er port français pour la farine et les engrais, a une situation stratégique entre Paris, à 220 km et la mer (à 80 km de l’estuaire de la Seine.) Il accueille entre 3 500 et 4 000 navires par an, pour un tonnage de 25 millions de tonnes. De nos jours, des paquebots fluviaux de croisière circulent également entre Honfleur et Paris.
Rambouillet a toujours été réputé comme lieu de chasse et attirait grands seigneurs et rois de France.
Jean Bernier, prévôt de Paris, transforme le manoir existant en château fortifié en 1378. Son fils vend le domaine à la famille d’Angenne qui va le conserver pendant 3 siècles et agrandir le domaine pour en faire un domaine de chasse. François 1er vient souvent y chasser ; il y meurt en 1547.
En 1699, le château est vendu à Joseph Fleuriau d’Armenonville qui fait transformer les jardins à la française.
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